Vous détenez une maison ainsi que des prêts (automobile, marge de crédit, carte de crédit, prêt personnel ou autre), la stratégie qui suit pourrait vous faire épargner des intérêts.
Prenez le temps de vérifier quel taux d'intérêt vous payez sur vos emprunts, vous pourriez être surpris car le taux d'intérêt chargé est parfois très élevé. Le coût des assurances-vie et invalidité sur vos prêts coûtent habituellement cher également.
Vous pourriez ouvrir une marge de crédit hypothécaire ou consolider directement vos prêts sur votre hypothèque. Le taux d'emprunt sur une hypothèque à taux variable peut être aussi bas que 4,25% présentement. Pou un terme fixe de 5 ans, vous pouvez l'avoir à 5% environ.
Par exemple, si vous avez un prêt automobile de 20 000 $ à un taux d'intérêts de 7% par an, vous pourriez sauver 400$ la première année en intérêts.
Il est habituellement possible de faire cette modification sans frais pour vous.
N'hésitez pas à me contacter pour plus d'informations.
L’histoire nous apprend que c’est dans les pires périodes de désespoir qu’il faut acheter des actions et cela s’est vérifié en 1982 (crise de liquidités, récession), 1987 (krach boursier), 1990 (Guerre du Golf) et 1998 (crise asiatique).
De six à douze mois après ces événements, la bourse a repris le chemin de la hausse. Si un investisseur avait acheté à la fin de chaque période de baisse, il aurait obtenu des rendements exceptionnels les mois suivants. Nous sommes probablement à un tel moment présentement.
C’est inévitable : la bourse est cyclique. L’investisseur doit éviter de s’y laisser prendre. Il suffit d’adopter un cadre intellectuel rigoureux, qui permet d’éliminer les émotions des stratégies d’investissement. Laissez passer les hauts de la bourse, et prenez les baisses pour ce qu’elles sont : d’excellentes occasions d’achat.
Si votre portefeuille est bien équilibré quant à votre tolérance au risque, il ne faut pas déroger à votre stratégie de placement à long terme. Plusieurs études ont démontré que les réactions émotives des investisseurs (acheter quand tout le monde achète, quand c’est cher et vendre dans les période de crise, quand la bourse est basse) réduisent leur rendement à long terme. Les investisseurs fructueux investissent après les périodes de baisse.
Si vous désirez faire partie des investisseurs fructueux, n’oubliez pas que vous avez jusqu’au 1er mars 2003 pour investir dans votre REER.
Je tiens à vous mentionner que je ne vois aucun inconvénient à ce que vous acheminiez mes messages à des collègues ou à des amis – et que je serai heureux d’ajouter le nom de ces personnes à ma liste d’envoi.