L’histoire nous apprend que c’est dans les pires périodes de désespoir qu’il faut acheter des actions et cela s’est vérifié en 1982 (crise de liquidités, récession), 1987 (krach boursier), 1990 (Guerre du Golf) et 1998 (crise asiatique).
De six à douze mois après ces événements, la bourse a repris le chemin de la hausse. Si un investisseur avait acheté à la fin de chaque période de baisse, il aurait obtenu des rendements exceptionnels les mois suivants. Nous sommes probablement à un tel moment présentement.
C’est inévitable : la bourse est cyclique. L’investisseur doit éviter de s’y laisser prendre. Il suffit d’adopter un cadre intellectuel rigoureux, qui permet d’éliminer les émotions des stratégies d’investissement. Laissez passer les hauts de la bourse, et prenez les baisses pour ce qu’elles sont : d’excellentes occasions d’achat.
Si votre portefeuille est bien équilibré quant à votre tolérance au risque, il ne faut pas déroger à votre stratégie de placement à long terme. Plusieurs études ont démontré que les réactions émotives des investisseurs (acheter quand tout le monde achète, quand c’est cher et vendre dans les période de crise, quand la bourse est basse) réduisent leur rendement à long terme. Les investisseurs fructueux investissent après les périodes de baisse.
Si vous désirez faire partie des investisseurs fructueux, n’oubliez pas que vous avez jusqu’au 1er mars 2003 pour investir dans votre REER.
Je tiens à vous mentionner que je ne vois aucun inconvénient à ce que vous acheminiez mes messages à des collègues ou à des amis – et que je serai heureux d’ajouter le nom de ces personnes à ma liste d’envoi.